Exposition à l’ADAT, 10 rue Bréguet Paris 11èm, du 10 au 25 Septembre 2016

J’ai visité la première exposition de Véronique Alice à Paris et j’étais tout de suite frappée par la force qui anime ses œuvres. Les couleurs et les formes de l’ensemble qu’elle présentait viennent directement d’une source sûre et puissante. Je pense qu’elle serait capable d’embrasser n’importe quel sujet ou technique mais elle a choisi la peinture aborigène et ça lui va comme un gant. Elle montre une grande maîtrise jumelée à un évident plaisir. Ce sont des œuvres qui demandent beaucoup de temps et de patience pour poser les touches de peintures avec justesse mais l’effort n’est pas visible, seulement l’envie de montrer la beauté des paysages intérieurs. C’est revigorant. / Joslène

Un travail qui devient de plus en plus maitrisé et lumineux.
Un agencement de couleurs et de formes qui se marient parfaitement. / Véronique.

Superbe exposition.
Tu incarnes cette peinture. Elle t’habite. Tout est magnifique. Quelle application quelle délicatesse.
Aime particulièrement ce que j’étais avant et ce que je suis maintenant. Un grand bravo. / Sylvie.

« Sympa ces peintures inspirées de la culture aborigène qui m’ont permis de découvrir leur talent….
et le tien. J’en ai beaucoup aimé le graphisme avec une préférence pour tes peintures abstraites
qui laissent l’imagination vagabonder. Bonne continuation pour l’exploration de ce nouveau chemin. »
Marie.

Cette exposition est pour moi une découverte de l’art aborigène ainsi qu’un voyage en Australie bien sûr mais aussi en moi et dans le monde. Une expérience.
Je n’ai pas saisi à quoi cela est dû… est-ce le côté hypnotique du pointillisme d’un certain nombre d’œuvres, les couleurs de terre qui évoquent la piste… ?
En tout cas, pour moi, c’est du feu d’artifice, du soleil, de la piste fumante, de la musique,
de l’espace et en même temps du resserrement vers soi, un chemin méditatif et initiatique.
Un grand merci. / Clémentine.

J’ai trouvé ta peinture fabuleuse : très mature, pour quelqu’un qui , à priori, n’a pas de racines aborigènes… Ou peut-être que si ? / Isabelle.

« Belle expo, belle réussite !
Ma préférence va vers les peintures avec des cercles qui partent du centre vers l’extérieur, comme une notion d’ouverture, d’espace qui s’agrandit. Ils me donnent la pêche et en plus, j’aime bien ces  couleurs chaudes illuminées par les points blancs! » / Christine.